Livre « Hommages à la tradition acadienne » | Book | Wi’gatign
Informations sur l’objet
Période historique
1948
Dimensions
Inconnue
Classification
Communications -- Livre
Numéro d’accession
P1.1e.2
Division
Documents et archives -- Moyens d'expression -- Livres
Collection
Bona Arsenault
Donateur ou donatrice
Bona Arsenault?
Catégorie / thème
Description de l’objet
Album-historique de 44 pages regroupant plusieurs articles sur l'Acadie. Le tout a été édité et publié par Le Choeur d'Acadie en 1948.
Valeur de l’objet
Le livre fait écho à un développement social et culturel attribuable à la Renaissance acadienne (1867-1960), phénomène d'auto-appropriation de la culture acadienne par ses héritières et héritiers engendrant un sentiment d'appartenance acadienne. En outre, il s'agit d'une publication mettant en valeur l'Acadie sous toutes ses coutures : les lieux d'établissement, les chansons, les traditions, etc.
De plus, le livre témoigne du développement de la société acadienne en général, et plus particulièrement des liens entre les Petites-Cadies québécoises et autres lieux d'établissements acadiens dans les provinces maritimes et aux États-Unis. En outre, plusieurs sociétés économiques et culturelles ont une place dans cette publication : La société L'Assomption, le Choeur de l'Acadie, etc.
Finalement, ce document témoigne des liens qui unissent les Petites-Cadies par le truchement de l'histoire. Des sociétés généalogiques et historiques se sont formées partout au Québec pour répondre à un besoin de progrès des connaissances. Parfois orientées autour d'un patronyme particulier, d'une région (comme la Gaspésie) ou d'une nation (comme les Acadiens), ces sociétés ont été d'une grande importance dans l'appropriation de la culture québécoise. Ici, l'on assiste à une publication qui rend accessible l'histoire et les organisations acadiennes.
De plus, le livre témoigne du développement de la société acadienne en général, et plus particulièrement des liens entre les Petites-Cadies québécoises et autres lieux d'établissements acadiens dans les provinces maritimes et aux États-Unis. En outre, plusieurs sociétés économiques et culturelles ont une place dans cette publication : La société L'Assomption, le Choeur de l'Acadie, etc.
Finalement, ce document témoigne des liens qui unissent les Petites-Cadies par le truchement de l'histoire. Des sociétés généalogiques et historiques se sont formées partout au Québec pour répondre à un besoin de progrès des connaissances. Parfois orientées autour d'un patronyme particulier, d'une région (comme la Gaspésie) ou d'une nation (comme les Acadiens), ces sociétés ont été d'une grande importance dans l'appropriation de la culture québécoise. Ici, l'on assiste à une publication qui rend accessible l'histoire et les organisations acadiennes.
En savoir plus
Le Choeur d'Acadie est une choeur de chant d'Acadiens à Montréal monté par Francis Savoie et Jacques Labrecque. Francis Savoie (1864-1961) est un homme d’affaires et un musicien originaire de Lamèque (Nouveau-Brunswick) très impliqué dans les différentes organisations acadiennes de Montréal. Jacques Labrecque (1917-1995) est un folkloriste et chanteur de musique folklorique québécois. Le Choeur d'Acadie était dirigé par Hector Gratton et Labrecque. « Le Choeur d’Acadie est composé en majorité d’Acadiens exilés à Montréal ; le père Anselme en est l’aumônier. Le choeur effectue deux tournées en Acadie et donne de nombreux concerts au Québec. Jacques Labrecque en prend la direction en juin 1944, alors que le choeur existe déjà depuis deux ans. » (https://www.erudit.org/en/journals/ethno/2004-v26-n2-ethno1422/013744ar/)